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THYROÏDE : RIEN NE VA PLUS !

 

Fatigue, prise de poids ou au contraire, perte de poids, irritabilité, hyperémotivité, … Les signes cliniques sont nombreux et handicapants au quotidien, preuve de l’importance de cette glande impliquée dans l’ensemble des fonctions métaboliques de notre corps. Alors, qu’est-ce que la thyroïde ? Quel est son rôle ? Comment fonctionne-telle ? Et quand elle se dérègle, plus rien de va !

QU’EST-CE QUE LA THYROÏDE ?

La thyroïde est une glande endocrine, c’est-à-dire qu’elle produit des hormones (des messagers chimiques qui vont agir sur d’autres tissus ou des organes pour en contrôler et réguler les fonctions). Elle est située à la base du cou et est reconnaissable par sa forme particulière de papillon.

QUEL RÔLE JOUE-T-ELLE DANS TOUT NOTRE CORPS ?

La thyroïde produit les hormones thyroïdiennes. Celles-ci interviennent dans la régulation de nombreuses fonctions métaboliques comme : la santé cérébrale par le développement du cerveau avant et après la naissance, l’humeur, l’état de vitalité ou encore la température corporelle et la gestion du poids par la dépense énergétique, les fonctions digestives, cardiaques et l’appareil génital (fertilité).

COMMENT FONCTIONNE-T-ELLE ?

La thyroïde travaille sous le contrôle de l’axe hypothalamo-hypophysaire et c’est la TSH (thyréostimuline), produite par l’hypophyse, qui va se lier à un récepteur spécifique sur les cellules des follicules thyroïdiens et stimuler l’entrée d’iode dans la thyroïde et la synthèse des hormones thyroïdiennes.

Les hormones thyroïdiennes sont la T4 et la T3. La thyroïde synthétise et sécrète principalement de la T4, qui est l’hormone de stockage, et qui sera transformée en T3, la forme active, dans les tissus périphériques (principalement le foie et les reins).

Cette synthèse requiert des « matériaux de construction » spécifiques qui sont apportés par l’alimentation : l’iode et la tyrosine, un acide aminé mais également de nombreux cofacteurs.

Les différentes étapes de la production de ces hormones nécessitent des vitamines et minéraux bien spécifiques. Il s’agit du sélénium, du zinc, du magnésium, du cuivre, des vitamines A, C et E… Ces micronutriments sont donc indispensables au bon fonctionnement de la glande et doivent être apportés par l'alimentation.

QUAND LA THYROÏDE SE DÉRÈGLE :

Agir contre un environnement trop toxique

La santé de la thyroïde peut être affectée par de nombreuses toxines présentes dans notre environnement. On sait par exemple que les halogènes (fluor, Chlore, bromine), les métaux lourds, le perchlorate, les PCB, le bisphénol A, etc. sont nocifs au bon fonctionnement de la thyroïde. Un grand nombre de ces toxines font partie de notre environnement intime. Pour de nombreuses personnes, c’est la charge totale de toutes ces toxines qui finit par dépasser un certain seuil et finissent par les affecter.

HYPERTHYROÏDIE : TROP D'HORMONES THYROÏDIENNES

Lorsque la thyroïde produit trop d’hormones, l’organisme est en surmenage. La température et le rythme cardiaque augmentent, on observe une perte de poids, de la nervosité, des tremblements... Cette suractivité de la glande thyroïde peut aussi être causée par la maladie de Basedow, une maladie auto-immune, dans laquelle des anticorps stimulent le fonctionnement en excès de la thyroïde.
Gérer le stress par l’apport de magnésium est important, de même l’apport de coenzyme Q10 est nécessaire car il diminue fortement en cas d’hyperthyroïdie. Mais l’axe principal est d’essayer de normaliser une réaction immunitaire excessive. La carence en vitamine D est souvent reliée à de nombreuses maladies auto-immunes.
Causes : Maladie de Basedow
Symptômes : tachycardie, amaigrissement, exophtalmie…

HYPOTHYROÏDIE : PAS ASSEZ D'HORMONES THYROÏDIENNES

L’hypothyroïdie est beaucoup plus fréquente que l’hyperthyroïdie. Elle touche 4 à 15% de la population et de 2 à 5 fois plus fréquente chez les femmes que chez les hommes.
Lorsque la thyroïde ne produit pas assez d’hormones, l’organisme fonctionne au ralenti.
En cas d’hypothyroïdie, la substitution en hormones thyroïdiennes reste la stratégie principale du corps médical, sans tenir compte des causes qui ont favorisé le problème. Pourtant, on sait que de nombreux facteurs peuvent perturber la thyroïde et que, d’autre part, les mécanismes de transformation des hormones thyroïdiennes dans le corps ne sont pas pris en compte par la médecine actuelle. C’est pourquoi souvent le fait de donner des hormones ne suffit pas à calmer les symptômes, car on ne tient pas compte de la relation complexe de la glande avec l’ensemble du corps. De plus, de nombreux cas d’hypothyroïdie cliniques ne sont pas diagnostiqués par les tests sanguins habituels.

L’hypothyroïdie, un diagnostic sous-estimé, en particulier les formes frustes

Oubliée par la médecine et pourtant essentielle au fonctionnement de la thyroïde : la conversion des hormones T4 en T3

En réalité, un taux de TSH normal et un taux de T4 normal peuvent masquer un problème relativement fréquent : une mauvaise conversion de la T4 en T3 impliquée dans l’hypothyroïdie. Le simple dosage de la TSH pour déterminer une hypothyroïdie peut être insuffisant. Les normes actuelles sont reconnues comme trop larges, certaines valeurs limites, considérées comme encore normales, peuvent déjà signaler une dysfonction de la thyroïde. De plus, les tests de laboratoire indiquent des valeurs hormonales dans le sang, mais ne permettent pas une appréciation réelle au niveau cellulaire ni d’évaluer correctement la qualité de la conversion des hormones T4 en T3 surtout si l’on dose seulement la TSH et la T4 libre. Il est dès lors important de tenir compte des symptômes et des signes cliniques pour rechercher un problème thyroïdien.
Les causes de cette mauvaise conversion peuvent être par exemple : la prise d’œstrogènes, un stress mal géré, une inflammation chronique ou certaines carences micro-nutritionnelles.

Un dialogue est essentiel avec le patient.

Causes :
Une carence en matériaux de construction (Iode et L-Tyrosine)
Une synthèse hormonale déficiente (de la T4) dans la thyroïde
Une conversion de T4 en T3 ralentie
Une résistance aux hormones thyroïdiennes : la T3 ne parvient pas à pénétrer dans la cellule ou à se lier à son récepteur nucléaire.
La maladie d’Hashimoto : maladie auto-immune dans laquelle le corps produit des anticorps dirigés contre la thyroïde qui finit par ne plus produire assez d’hormones.

Symptômes :
Fatigue, faible immunité
Maux de tête diffus, migraines
Peau sèche, ongles cassants
Résistance à la perte de poids…

CONSEILS D'UN MICRONUTRITIONNISTE :

YVES GILLE, DR EN PHARMACIE ET FONDATEUR DE NUTRAVANCE

« Pour équilibrer sa thyroïde, en cas d’insuffisance en particulier, en plus de l’iode indispensable, pensez aux plantes, vitamines, minéraux et L-tyrosine pour optimiser la fonction thyroïdienne (synthèse et bonne conversion des T3) , mais également pour améliorer la qualité de vie du patient sur de nombreux plans : énergie, stress, détoxication, épigénétique et lutte contre le stress oxydatif…
- L’ashwagandha KSM 66® , une plante adaptogène ayurvédique est soutenu par de nombreux essais cliniques ; il favorise le bien-être physique et mental, le tonus musculaire, l’énergie mentale et la concentration
- Le Guggul, petit arbuste épineux, favorise le maintien de l’équilibre des hormones thyroïdiennes.
- l’avoine et le romarin sont également très utiles »

Une synergie optimale d’actions dans un complément alimentaire unique : THYROComplexe®

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